Les influences de la culture belge dans la fabrication du chocolat Orfève?

Chez Orfève, notre histoire ne s’écrit pas qu’en Suisse. Elle porte aussi en elle une sensibilité belge, plus discrète mais bien réelle.
François-Xavier, cofondateur d’Orfève, est né en Suisse, mais ses racines familiales sont belges. Et dans notre manière d’envisager le chocolat, cette double culture dialogue sans cesse.

Une culture du goût assumé

La Belgique a toujours entretenu un rapport passionné au chocolat. Un goût généreux, une attention à la texture, un attachement au plaisir immédiat, autant d’éléments qui influencent notre lecture du produit.

Chez Orfève, cela se traduit par une gourmandise structurée : des textures nettes, denses, parfois granuleuses, toujours pensées pour laisser une empreinte.

Une liberté d’inventer

Si la tradition suisse nous a transmis la rigueur, la culture belge nous a ouvert à l’idée que le chocolat peut être libre, joueur, non figé.

C’est ce qui nous a permis d’oser des recettes comme Brut de Noir — à la texture inattendue — ou Noir de Fruits, qui bousculent les formats traditionnels. L’audace tranquille de la Belgique nous autorise à sortir du cadre, sans perdre en exigence.

Un lien à la culture, pas au folklore

Notre lien à la Belgique n’est pas folklorique. Il est culturel, gustatif, intime. Il nous invite à faire du chocolat non pas un monument figé, mais un langage vivant, ouvert aux influences, aux idées, à la surprise.